“Le Gamin” Max Boublil, touche à tout, et même au cinéma

L’artiste aux multiples talents s’attaque maintenant au cinéma. Ce chanteur, humoriste, comédien s’est maintenant lancé dans l’écriture d’un film Les Gamins. Le tournage débute en juillet 2012. Annoncé à l’affiche, Max Boublil bien évidement, mais aussi Alain Chabat, Zabou Breitman et Mélanie Bernier.

Boublil, l’acteur et le scénariste

Ce n’est pas un premier essai pour lui en temps qu’acteur puisqu’on a pu le voir dans quelques seconds rôles : au cinéma, dans les films Les Gaous ou La vérité si je mens ! 3, mais aussi à la télévision, dans Mademoiselle Joubert ou Le Grand Restaurant II. On aura donc une nouvelle fois la chance de le voir sur grand écran dans les Gamins mais cette fois-ci dans un rôle principal qu’il a écris pour lui-même avec son complice de toujours Anthony Marciano.

« L’idée de base part d’une simple constatation : il y a pire que de ne pas s’entendre avec son beau-père, c’est s’entendre avec son beau-père ! » explique Max, à Ecran Total. L’histoire montre donc le parcours d’un beau-père et de son beau-fils qui choisissent de tout abandonner : femme, enfant, foyer, pour aller vivre une vie de bohème, dénuée de toutes responsabilités.

Boublil, le chanteur et l’humouriste

Grâce à son humour décalé et provocateur, Max Boublil est avant tout un comique reconnu. En France, pour son dernier spectacle Max Boublil – en sketches et en chansons, et reconnu jusqu’en Chine même, grâce (ou à cause) de sa Chanson raciste. On le connait aussi pour son album sorti en février 2011 où il interprète plusieurs des chansons humoristiques qui ont fait son succès : Susan Boyle, J’aime les moches, ou la dernière J’entends rien…

Zopiok sur…

Une note spéciale pour sa chanson une larme qui coule qui rend hommage à la série télévisée allemande et à son acteur décédé : Inspecteur Derrick. On a tous vu à un moment ou un autre cette série pleine de longueurs, complètement ringarde et pourtant comme il le dit « éternellement rediffusée ». Un humour à prendre au second degré, toujours aussi efficace et une réalisation, somme toute, soignée, entièrement sur fond vert. Une sacrée interprétation, accessoirisée juste ce qu’il faut pour rendre l’ambiance légendaire de ce désormais culte moment de télévision allemande.